3. Espèces

Pour bien choisir son personnage, on se doit de connaître les différentes espèces jouables. Il faut se familiariser avec leurs habitudes, savoir les points forts et les points faibles pour pouvoir faire un choix aviser et ne pas le regretter plus tard. Nous avons bien sûr tenté d’être succinct pour ne pas vous assommer tout en étant exhaustif pour que tout soit le plus clair possible. Si vous avez déjà une idée du personnage que vous voulez, vous avez la possibilité de cliquer sur le lien pour vous rendre directement à la fiche de l’espèce que vous souhaitez.

• Ouraniens (Anges)
  
  • Guerriers
    
  • Gardiens
    
  • Protecteurs
  
  
• Erèbes (Démons)
  
  • de Naissance
    
  • Transformés
    
  • Dévoreurs
  
  
• Kères (Vampires)
  
  • Le Conseil
    
  • Sires
    
  • Maîtres
    
  • Lieutenants
    
  • Sujets
  
  
• Oneirois (Métamorphes)
  
  • Garous
    
  • Changelings
  
  
• Telluriens (Humains)
  
  • Alchimistes
    
  • Aetherals
    
  • Nyxènes

Si vous trouverez des fiches détaillées ci-dessous, nous avons préférés vous indiquer dès le premier post la descendance que donne chaque métissage entre les espèces. Certaines informations pourront donc vous sembler abstraite de prime abord, mais vous aurez des explications plus fournies par la suite.

• Ouranien + Érèbe : L’enfant sera Tellurien, soit sans le moindre pouvoir, soit Alchimiste. Il ne sera ni Aetheral, ni Nyxène et n’aura donc pas la possibilité de faire la transition en Ouranien ou Érèbe.


• Ouranien + Kère : L’enfant sera forcément Aetheral puisqu’on ne peut pas naître Kère, on est forcément transformé.


• Ouranien + Oneiroi : L’enfant sera soit Oneiroi ou Aetheral, les chances sont de l’ordre du 50/50 dans un cas comme dans un autre.


• Ouranien + Tellurien : L’enfant pourra être Tellurien soit totalement sans pouvoir, soit Alchimiste ou Aetheral.


• Érèbe + Kère : L’enfant sera forcément Nyxène puisqu’on ne peut pas naître Kère, on est forcément transformé.


• Érèbe + Oneiroi : L’enfant sera soit Oneiroi ou Nyxène, les chances sont de l’ordre du 50/50 dans un cas comme dans un autre.


• Érèbe + Tellurien : L’enfant pourra être Tellurien soit totalement sans pouvoir, soit Alchimiste ou Nyxène.


• Kère + Oneiroi : L’enfant pourra être aussi bien changeling que Tellurien, les chances sont de l’ordre du 50/50 dans un cas comme dans un autre. À noter que le seul couple envisageable serait un homme Kère avec une femme changeling et non garou.


• Kère + Tellurien : L’enfant sera exactement comme le parent Tellurien puisqu’on ne peut pas naître Kère, on est forcément transformé.


• Oneiroi + Tellurien : L’enfant pourra être aussi bien Oneiroi que Tellurien, les chances sont de l’ordre du 50/50 dans un cas comme dans un autre.

Moeurs
Les Ouraniens, aussi appelés Anges, sont des êtres aux pouvoirs extraordinaires. Pendant des siècles, ils vivaient surtout entre eux, n’interagissant que très discrètement avec les Telluriens, qui ne se rendaient généralement même pas compte de leur présence. Aujourd’hui les choses ont changé et évolué. Ouraniens et les Telluriens vivent, ou plutôt survivent, ensemble, cachés. Certains Ouraniens aiment même à se faire passer pour de simples Telluriens. D’autres en revanche aimeraient bien que cette guerre cesse afin de pouvoir retourner chez eux aux Cieux.

Habitat
Leur habitat naturel se trouve caché très haut dans les Cieux. C’est comme un tout autre monde tellement plus lumineux, tout y est blanc et or, un peu comme l’époque des temples Athéniens sous l’Empire grec. Il n’y a aucune porte que ce soit aux maisons ou entre deux pièces, pour ceux qui souhaitent un peu d’intimité, ils apposent de simples tentures.
Bien sûr depuis les conflits sur Terre, ils se sont mêlés aux Telluriens. Ceux qui se font capturer tentent de se faire passer pour des Telluriens afin d’éviter des tortures sans nom perpétrées par les Magistri. Les autres vivent reclus avec tous les rebelles dans le Bayou.

Alimentation
Ils sont hypersensibles et attachés à la nature, aussi la plupart d’entre eux sont végétariens, quelques-uns sont même végans. Ils remercient toujours la nature pour la nourriture et les bienfaits qu’elle leur offre, ils font d’ailleurs souvent un don pour rendre ce qui leur a été donné.

Reproduction
Leur métabolisme étant très proche de celui des Telluriens ils peuvent se reproduire avec toutes les autres espèces bien qu’on les voie très mal s’encanailler avec les Érèbes. Cependant ils ne se mêlent majoritairement qu’aux autres Ouraniens et aux Telluriens. L’enfant ne sera totalement Ouraniens que si ses deux parents le sont.

Sous-espèces
Les Ouraniens peuvent être différenciés en trois catégories. Les Guerriers qui, comme leur nom l’indique, sont d’excellents combattants, les meilleurs de leur caste. Ils s’entraînent presque depuis toujours à l’art du combat et au maniement d’armes en tout genre.
Les Gardiens sont ceux qui ont reçu l’appel d’un ou plusieurs Telluriens, ils ne choisissent pas forcément cette vocation, il arrive que ce soit la vocation qui les choisisse. Au contraire, certains peuvent passer des siècles à attendre un appel. Ces derniers ont généralement un pouvoir qui leur permette plus facilement de comprendre la ou les personnes auxquelles ils sont liés, la télépathie ou l’empathie par exemple.
Et enfin les Protecteurs, eux sont excessivement attachés à la nature, à sa faune et sa flore et font vœu de la protéger coûte que coûte. Il arrive que certains d’entre eux cumule leur statut de Protecteur avec un statut de Gardien.

Saviez-vous ?
Les Ouraniens sont quasiment immortels, leur métabolisme se régénère tellement vite que leur vieillissement est quasi-nul. Tous leurs sens sont ultra développés, ils sont plus rapides et plus forts que les Telluriens.
Ils ont la possibilité de dissimuler leurs ailes qui se rétractent totalement.

Moeurs
Les Érèbes, parfois appelés démons, sont des êtres tournés essentiellement vers le mal. Ils se complaisent dans la violence et/ou la luxure qui font partie intégrante de leur mode de vie. La plupart sont dépourvus de tous sens moral et n’ont que leur propre intérêt en tête, se servant de tous les moyens possibles pour cela, allant même jusqu’à asservir certains de leurs semblables moins puissants. Les Érèbes sont presque tous cruels, avides, cupides et totalement dépravés.

Habitat
Durant des siècles ils étaient reclus dans un royaume souterrain, dépourvu de lumière, il n’y avait que les plus puissants d’entre eux qui réussissaient à se projeter sur terre pour tenter de corrompre les âmes des Telluriens. Alors lorsqu’un portail vers la surface s’est ouvert, ils n’ont pas hésité et ont déferlé sur la surface qu’ils ont envahis. Ils aiment être au centre de tout, choisissant des endroits bien stratégique pour asseoir leurs pouvoirs. À New Orleans, la plupart des Érèbes ce sont donc installés dans le quartier de Mid-City.

Alimentation
Ils sont omnivores, mais surtout très carnivores… Quelques-uns auraient même tendance à être cannibales, dévorant sans vergogne les plus faibles d’entre eux. Néanmoins il faut noter que certains n’ont pas vraiment besoin de nourriture solide, mais peuvent se nourrir des autres par le biais de leur pouvoir comme c’est le cas des Succubes qui se nourrissent de leur partenaire sexuel pendant l’acte. D’autres par exemple se nourrissent des émotions des être vivants que ce soit la peur, la joie, la colère, etc.

Reproduction
Leur métabolisme étant très proche de celui des Telluriens ils peuvent se reproduire avec toutes les autres espèces, ce qu’ils font d’ailleurs avec le plus grand des plaisirs. Néanmoins peu d’entre eux se soucie véritablement de leur progéniture, à moins évidemment que cela ne puisse servir leurs intérêts d’une quelconque façon. L’enfant ne sera totalement Érèbes que si ses deux parents le sont.

Sous-espèces
Ils peuvent être classés en trois castes bien distinctes, majoritairement déterminées par leur puissance. D’un côté il y a les Érèbes de naissance, ils descendent de parents Érèbes généralement depuis des générations. Ils sont souvent puissants bien que cela puisse énormément varier d’un individu à un autre. Il y a les transformés, ceux qui naissant entièrement Telluriens et choisissent de vendre leurs âmes en scellant un pacte avec un Érèbe qui le transformera. Si leur puissance dépend bien évidemment de celui qui les change, ils sont bien moins puissants qu’un Érèbe de naissance. La troisième caste est un peu spéciale. Il s’agit en effet des Érèbes que l’on pourra qualifiés de dévoreurs, ce sont ceux qui se nourrissent via leur pouvoir d’autres êtres vivants. C’est donc le cas des Succubes et des Incubes mais aussi de tous les autres Érèbes qui pompent l’énergie des vivants d’une manière ou d’une autre. Si leur caste est particulière c’est tout simplement parce qu’on est ce que l’on mange, autrement dit leur puissance vient des êtres dont ils se nourrissent. Une Succube qui ne se nourrirait que de Telluriens sera bien moins puissante qu’une Succube couchant avec des Érèbes de naissance.

Saviez-vous ?
Tous comme les Ouraniens, les Érèbes sont quasiment immortels, leur métabolisme se régénère tellement vite que leur vieillissement est quasi-nul. Et plus il est puissant, plus il sera difficile à tuer, même si ça n’est pas impossible. Après tout difficile d’être encore en vie quand il y a plus de votre sang à l’extérieur de votre corps qu’à l’intérieur ou qu’il vous manque des parties utiles telles que votre cœur ou votre tête… Tous leurs sens sont ultra développés, ils sont plus rapides et plus forts que les Telluriens.

Ciliciam vero, quae Cydno amni exultat, Tarsus nobilitat, urbs perspicabilis hanc condidisse Perseus memoratur, Iovis filius et Danaes, vel certe ex Aethiopia profectus Sandan quidam nomine vir opulentus et nobilis et Anazarbus auctoris vocabulum referens, et Mopsuestia vatis illius domicilium Mopsi, quem a conmilitio Argonautarum cum aureo vellere direpto redirent, errore abstractum delatumque ad Africae litus mors repentina consumpsit, et ex eo cespite punico tecti manes eius heroici dolorum varietati medentur plerumque sospitales.

Atque, ut Tullius ait, ut etiam ferae fame monitae plerumque ad eum locum ubi aliquando pastae sunt revertuntur, ita homines instar turbinis degressi montibus impeditis et arduis loca petivere mari confinia, per quae viis latebrosis sese convallibusque occultantes cum appeterent noctes luna etiam tum cornuta ideoque nondum solido splendore fulgente nauticos observabant quos cum in somnum sentirent effusos per ancoralia, quadrupedo gradu repentes seseque suspensis passibus iniectantes in scaphas eisdem sensim nihil opinantibus adsistebant et incendente aviditate saevitiam ne cedentium quidem ulli parcendo obtruncatis omnibus merces opimas velut viles nullis repugnantibus avertebant. haecque non diu sunt perpetrata.

Conseil
Ipsam vero urbem Byzantiorum fuisse refertissimam atque ornatissimam signis quis ignorat? Quae illi, exhausti sumptibus bellisque maximis, cum omnis Mithridaticos impetus totumque Pontum armatum affervescentem in Asiam atque erumpentem, ore repulsum et cervicibus interclusum suis sustinerent, tum, inquam, Byzantii et postea signa illa et reliqua urbis ornanemta sanctissime custodita tenuerunt.

Sires
Adolescebat autem obstinatum propositum erga haec et similia multa scrutanda, stimulos admovente regina, quae abrupte mariti fortunas trudebat in exitium praeceps, cum eum potius lenitate feminea ad veritatis humanitatisque viam reducere utilia suadendo deberet, ut in Gordianorum actibus factitasse Maximini truculenti illius imperatoris rettulimus coniugem.

Maîtres
At nunc si ad aliquem bene nummatum tumentemque ideo honestus advena salutatum introieris, primitus tamquam exoptatus suscipieris et interrogatus multa coactusque mentiri, miraberis numquam antea visus summatem virum tenuem te sic enixius observantem, ut paeniteat ob haec bona tamquam praecipua non vidisse ante decennium Romam.

Lieutenants
Quibus occurrere bene pertinax miles explicatis ordinibus parans hastisque feriens scuta qui habitus iram pugnantium concitat et dolorem proximos iam gestu terrebat sed eum in certamen alacriter consurgentem revocavere ductores rati intempestivum anceps subire certamen cum haut longe muri distarent, quorum tutela securitas poterat in solido locari cunctorum.

Sujets
Quare hoc quidem praeceptum, cuiuscumque est, ad tollendam amicitiam valet; illud potius praecipiendum fuit, ut eam diligentiam adhiberemus in amicitiis comparandis, ut ne quando amare inciperemus eum, quem aliquando odisse possemus. Quin etiam si minus felices in diligendo fuissemus, ferendum id Scipio potius quam inimicitiarum tempus cogitandum putabat.

Ciliciam vero, quae Cydno amni exultat, Tarsus nobilitat, urbs perspicabilis hanc condidisse Perseus memoratur, Iovis filius et Danaes, vel certe ex Aethiopia profectus Sandan quidam nomine vir opulentus et nobilis et Anazarbus auctoris vocabulum referens, et Mopsuestia vatis illius domicilium Mopsi, quem a conmilitio Argonautarum cum aureo vellere direpto redirent, errore abstractum delatumque ad Africae litus mors repentina consumpsit, et ex eo cespite punico tecti manes eius heroici dolorum varietati medentur plerumque sospitales.

Atque, ut Tullius ait, ut etiam ferae fame monitae plerumque ad eum locum ubi aliquando pastae sunt revertuntur, ita homines instar turbinis degressi montibus impeditis et arduis loca petivere mari confinia, per quae viis latebrosis sese convallibusque occultantes cum appeterent noctes luna etiam tum cornuta ideoque nondum solido splendore fulgente nauticos observabant quos cum in somnum sentirent effusos per ancoralia, quadrupedo gradu repentes seseque suspensis passibus iniectantes in scaphas eisdem sensim nihil opinantibus adsistebant et incendente aviditate saevitiam ne cedentium quidem ulli parcendo obtruncatis omnibus merces opimas velut viles nullis repugnantibus avertebant. haecque non diu sunt perpetrata.

Garous
Ut enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.

Changelings
Raptim igitur properantes ut motus sui rumores celeritate nimia praevenirent, vigore corporum ac levitate confisi per flexuosas semitas ad summitates collium tardius evadebant. et cum superatis difficultatibus arduis ad supercilia venissent fluvii Melanis alti et verticosi, qui pro muro tuetur accolas circumfusus, augente nocte adulta terrorem quievere paulisper lucem opperientes. arbitrabantur enim nullo inpediente transgressi inopino adcursu adposita quaeque vastare, sed in cassum labores pertulere gravissimos.

Ciliciam vero, quae Cydno amni exultat, Tarsus nobilitat, urbs perspicabilis hanc condidisse Perseus memoratur, Iovis filius et Danaes, vel certe ex Aethiopia profectus Sandan quidam nomine vir opulentus et nobilis et Anazarbus auctoris vocabulum referens, et Mopsuestia vatis illius domicilium Mopsi, quem a conmilitio Argonautarum cum aureo vellere direpto redirent, errore abstractum delatumque ad Africae litus mors repentina consumpsit, et ex eo cespite punico tecti manes eius heroici dolorum varietati medentur plerumque sospitales.

Atque, ut Tullius ait, ut etiam ferae fame monitae plerumque ad eum locum ubi aliquando pastae sunt revertuntur, ita homines instar turbinis degressi montibus impeditis et arduis loca petivere mari confinia, per quae viis latebrosis sese convallibusque occultantes cum appeterent noctes luna etiam tum cornuta ideoque nondum solido splendore fulgente nauticos observabant quos cum in somnum sentirent effusos per ancoralia, quadrupedo gradu repentes seseque suspensis passibus iniectantes in scaphas eisdem sensim nihil opinantibus adsistebant et incendente aviditate saevitiam ne cedentium quidem ulli parcendo obtruncatis omnibus merces opimas velut viles nullis repugnantibus avertebant. haecque non diu sunt perpetrata.

Alchimistes
Ut enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae.

Aetherals
Raptim igitur properantes ut motus sui rumores celeritate nimia praevenirent, vigore corporum ac levitate confisi per flexuosas semitas ad summitates collium tardius evadebant. et cum superatis difficultatibus arduis ad supercilia venissent fluvii Melanis alti et verticosi, qui pro muro tuetur accolas circumfusus, augente nocte adulta terrorem quievere paulisper lucem opperientes. arbitrabantur enim nullo inpediente transgressi inopino adcursu adposita quaeque vastare, sed in cassum labores pertulere gravissimos.

Nyxènes
Thalassius vero ea tempestate praefectus praetorio praesens ipse quoque adrogantis ingenii, considerans incitationem eius ad multorum augeri discrimina, non maturitate vel consiliis mitigabat, ut aliquotiens celsae potestates iras principum molliverunt, sed adversando iurgandoque cum parum congrueret, eum ad rabiem potius evibrabat, Augustum actus eius exaggerando creberrime docens, idque, incertum qua mente, ne lateret adfectans. quibus mox Caesar acrius efferatus, velut contumaciae quoddam vexillum altius erigens, sine respectu salutis alienae vel suae ad vertenda opposita instar rapidi fluminis irrevocabili impetu ferebatur.